Iniesta, Messi or Ronaldo?

Yesterday, a FIFA Ballon d’Or 2012 shortlist of 23 names was whittled down to just three. And it said much for the standards set over the past year by Andres Iniesta, Lionel Messi and Cristiano Ronaldothat no-one was particularly surprised by the trio that emerged.

Now comes the difficult part: separating them. The job of deciding who takes the coveted trophy will fall to journalists and the coaches and captains of the various national teams around the world, but in the meantime we want you to have your say. So, who do you think should win the FIFA Ballon d’Or:Iniesta, Messi or Ronaldo?

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Ibra double provides PSG gloss

A brace from in-form striker Zlatan Ibrahimovic propelled Paris Saint-Germain to a 4-0 win over newly-promoted Troyes as they provisionally returned to the top of Ligue 1.

Maxwell netted a first-half opener for PSG, while two second-half strikes from Ibrahimovic and a goal from Blaise Matuidi snapped their domestic two-match losing streak in the French capital, sending Carlo Ancelotti's side one point clear of Saint-Etienne and Lyon at the summit.

Meanwhile, an eighth defeat of the season for Troyes leaves Jean-Marc Furlan's men languishing in 19th.

Ibrahimovic returned after serving a two-match suspension, with the inclusion of Sylvain Armand and Javier Pastore the only changes from Wednesday's 2-0 win at Dynamo Kyiv that secured PSG's progression to the UEFA Champions League knockout phase.

Troyes goalkeeper Yohann Thuram displayed quick reflexes to turn over an early effort from Matuidi, while the usually lethal Ibrahimovic shot tamely at Thuram after he was played through by Marco Verratti.

The home side eventually drew first blood on 17 minutes as Ibrahimovic advanced down the byline after escaping Rincon before crossing low for Maxwell to steer home. Ezequiel Lavezzi then tested Thuram with a header, while Troyes' Fabien Camus saw his deflected strike land on the roof of the net.

Zlatan bags a brace
On-loan striker Jean-Christophe Bahebeck, playing against his parent club, drew a low save out of Salvatore Sirigu and was unfortunate not to be awarded a penalty just before half-time after he was sent sprawling by Verratti.

The Italian midfielder - already on a yellow card - clattered through the back of Bahebeck, but replays indicated that Verratti got a faint touch on the ball as referee Bartolomeu Varela waved away appeals.

PSG capitalised on that let-off as Matuidi doubled the hosts' advantage on 63 minutes with an adroit finish after Ibrahimovic had slipped the ball into the path of the French midfielder.

The talismanic Swede then got on the scoresheet himself, drilling a fierce left-footed strike past Thuram via the underside of the crossbar seven minutes later before tapping home a Lavezzi cross for his league-leading 12th goal of the campaign a minute from the end to complete the rout.

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Entretien avec Houcine Kharja, capitaine des Lions de l’Atlas Kharja dit tout

Le Matin : Le sélectionneur national Rachid Taoussi avait déclaré à la presse qu’il vous avait contacté par téléphone, mais que vous ne lui aviez pas répondu ?
Houcine Kharja : Non, personne ne m’a jamais appelé. Même jusqu’à aujourd’hui, personne ne m’a pas appelé pour m’expliquer les raisons pour lesquelles on ne m’a pas sélectionné. On m’a appelé avant le match du Mozambique et j’ai répondu. Je ne vois pas pourquoi je ne répondrais pas, surtout qu’on s’est qualifiés à la CAN et qu’on s’est quittés en bons termes. C’est absurde de dire que je ne réponds pas au téléphone.

Certains avancent que Taoussi était en colère contre vous parce que vous auriez tenté de lui imposer Michaël Basser ?
Écoutez, ça, c’est une rumeur infondée. Je vous jure que je n’ai jamais tenté de lui imposer personne. La dernière fois que j’ai vu Michaël Basser remonte au match contre la Guinée. Ce sont des rumeurs que certains essayent de diffuser pour salir mon image. Je suis arrivé lundi tard à Marrakech et je n’ai pas rencontré Michaël Basser. Qu’on ne me convoque pas, ce n’est pas un problème, mais qu’on essaye de porter atteinte à mon image, je ne le supporte pas.

Est-ce que vous avez menacé de ne pas jouer contre le Mozambique si on ne vous verse pas votre prime cash ?
Ça, c’est du grand délire. Si on ne veut pas me convoquer, qu’on ne me convoque pas, mais qu’on ne salisse pas mon image. Dire que je refuse de jouer tant que je n’ai pas perçu mes primes c’est me manquer de respect. Vous pouvez demander à n’importe quel membre fédéral et vous verrez si j’ai un jour exigé quoi que ce soit. Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour mon pays et avec fierté. Je suis fier d’être Marocain et j’adore mon pays. J’ai suffisamment gagné ma vie «hamdoullah» en Europe et je la gagne encore bien aujourd’hui au Qatar. Seulement, je n’accepte pas qu’on dise des mensonges à mon sujet. Je n’ai rien exigé et ce ne sont pas mes habitudes.

On vous accuse aussi de vous immiscer dans la composition de l’équipe nationale ?
C’est archifaux. Je ne sais pas qui rapporte ce genre de mensonges. Vous savez, j’ai de grands amis en équipe nationale comme Marouane Chamakh, Youssef Hadji, Jamal Alioui. Si c’est moi qui faisais l’équipe, je les aurais fait jouer. Je pense avoir donné énormément à l’équipe nationale, mais que certains tentent de salir mon image, cela est inacceptable. J’ai toujours donné le meilleur exemple. Aucun entraîneur ne s’est jamais plaint de moi ou de mon comportement. J’ai toujours été un professionnel et je le resterai jusqu’au bout.

Est-ce que vous ne pensez pas être victime de la nouvelle politique du coach national qui affirme vouloir rajeunir l’équipe ?
Je ne suis pas vieux. J’ai 30 ans et cinq jours. Je ne me sens pas si vieux que ça. Je n’étais pas mauvais en équipe nationale non plus. J’avais 29 ans, il y a encore une semaine. Comme vous le savez, j’ai évolué en Italie avec des joueurs plus âgés comme Andrea Pirlo, Andrea Barzagli et d’autres qui constituent encore l’ossature de l’équipe d’Italie. Si on dit que je suis vieux à 30 ans, c’est un peu tiré par les cheveux. Maintenant, le coach a fait ses choix et je les respecte. Mais je ne me sens pas vieux et je suis encore capable d’apporter beaucoup à l’équipe nationale.

Comment a été ton premier contact avec Rachid Taoussi ?
La première fois qu’il m’appelé c’était avant le match du Mozambique. On a eu une longue discussion. Il m’avait dit que la qualification contre le Mozambique était encore possible, je lui ai dit qu’on pouvait effectivement encore se qualifier puisqu’on pouvait remonter les deux buts d’écart. Walid Regragui s’est déplacé par la suite à Doha pour me voir. Ça m’a touché énormément. Je suis venu au match du Mozambique qu’on a gagné «hamdoullah». Je me demande pourquoi lors du match du Mozambique, on est arrivé à me joindre et là par hasard face au Togo, on n’a pas pu sous prétexte que je ne répondais pas au téléphone. Même le coach Hassan Chahata m’avait demandé quand j’allais partir en sélection et je lui ai dit samedi puisqu’on avait joué vendredi. J’ai contacté la personne au sein de mon club qui s’occupait des présélections et elle m’a dit qu’elle n’avait rien reçu me concernant. Depuis, plus de nouvelles. J’ai appris, par la suite, dans la presse que je n’ai pas été sélectionné. Je n’ai pas cherché à savoir pourquoi. De toute façon, c’est le coach qui décide.

Quelles sont les chances du Maroc dans le groupe A qui contient également l’Afrique du Sud, l’Angola et le Cap Vert ?
Ça ne sera pas facile. Il faut faire le plein de points lors des deux premiers matchs avant d’affronter l’Afrique du Sud, pays organisateur. Dans une grande compétition comme la coupe d’Afrique, le plus important, c’est le premier match. Il faudra donc gagner le match contre l’Angola. Ça ne sera pas facile contre cette équipe qui joue bien au football. Après, il faut bien négocier le match du Cap Vert qui a éliminé le Cameroun. De toute façon, il n’y a plus de petites ou grandes équipes. Il faut tout simplement respecter tous les adversaires sans toutefois les craindre. L’Angola comme le Cap Vert sont deux anciennes colonies portugaises. Ils ont des joueurs qui évoluent au Portugal. Ça va être difficile, mais c’est jouable.

Quels sont les enseignements que vous avez retenus lors de la dernière CAN ?
Le principal enseignement c’est de ne pas perdre le premier match. Il ne faut pas partir en Afrique du Sud comme si on avait déjà gagné la CAN. En 2004, on était considérés comme le plus petit poucet de la CAN et on a fait un bon parcours jusqu’à la finale. Lors des éditions suivantes, on est souvent arrivés comme l’une des équipes les plus attendues et à chaque fois on est passés à côté. Il faut aller là-bas très concentrés et respecter tous les adversaires et s’attendre à des rencontres très difficiles. Il faut batailler à chaque match pour pouvoir le remporter.

Comment sont vos relations actuelles avec votre coach Hassan Chahata ?
Elles sont très bonnes. La dernière fois, je lui ai demandé quelques conseils concernant la Coupe d’Afrique puisqu’il a gagné le titre à trois reprises. Il a confiance en moi. Il me considère comme le pilier de l’équipe. Depuis que je suis arrivé dans mon nouveau club, j’ai joué tous les matchs durant 90 minutes. Il y a eu des rumeurs comme quoi mes relations avec mon coach n’étaient pas bonnes. C’est totalement faux

LE MATIN

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Coupe arabe CA Bizerte, une simple formalité pour le Raja ?

Dans le camp du Raja, c’est la sérénité qui domine, le plus dur ayant été fait avec les quatre buts inscrits au complexe Mohammed V, il y a un mois. Les Verts n’ont donc plus qu’une simple formalité à assurer pour débarquer au tour suivant.
Seul souci pour M’Hamed Fakhir, la fatigue de ses joueurs qui vont disputer trois rencontres en une semaine.

CA Bizerte n’a pratiquement aucune chance d’éliminer le Raja en Coupe arabe même si c’est une équipe en confiance que va accueillir les Verts.
Quatrième de son championnat, CA Bizerte est en train de relever la tête comme le prouve son succès sur l’AS Marsa (2-1), le week-end dernier.
En dépit de son large succès au match aller, le Raja doit tout de même se méfier de la réaction du club tunisien qui jouera sa chance jusqu’au bout.

Méfiance

En plus de la fatigue qui risque de faire son effet sur les joueurs marocains, ils seront également pénalisés par la pelouse du stade de Bizerte rendue lourde par les dernières pluies qui se sont abattues sur la Tunisie.
Le nouveau coach algérien Noureddine Saadi qui a relevé Youssef Zouaoui aura à cœur de créer la sensation en remontant les 4 buts encaissés à Casablanca.

Pour ce, il comptera sur son joueur et compatriote Ziyaya, un véritable goléader, ainsi que sur les coups de boutoir du Sénégalais Youssoufa. De plus, le club de Bizerte sera encouragé par plus de 20 000 supporters.

Les récents vainqueurs de la Coupe du Trône auront donc à faire face à la fatigue, au mauvais état de la pelouse et au public bizertin qui sera le douzième homme qui exhortera ses fans à un exploit difficile, mais non impossible.

Les retours de Karim Benamor et de Kamal Zaïm, absents lors du match aller, seront également un plus pour les Tunisiens avides d’obtenir leur ticket pour le tour suivant.
Fakhir et ses hommes doivent donc s’attendre à une rencontre infernale et pour ce, ils essayeront de freiner les ardeurs des Tunisiens durant les 20 premières minutes pour envisager le reste du match avec plus de sérénité.
Pour ce, l’entraîneur du Raja a laissé au repos certain de ses joueurs clefs afin qu’ils gardent leur fraîcheur pour cette confrontation maghrébine.

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Un trio égyptien pour le match CA Bizerte-Raja

L’Union arabe de football a désigné un trio égyptien pour conduire le match retour du premier tour de la Coupe arabe des clubs champions entre le Club Athlétique Bizertin et le Raja de Casablanca prévu pour ce dimanche à partir de 14h30 au stade 15 Octobre de Bizerte. Ce trio est composé de Fahim Omar comme arbitre principal, Houcine Saddat, Ahmed Saher comme adjoints, Hamdi Châabane comme 4e arbitre et Abdelkader Chaabane comme commissaire du match.

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El Mourinho más afable

El documental, elaborado por Henrique Mateus de la cadena portuguesa TVI, se titula O toque de Mourinho y durante 50 minutos recuerda los partidos claves (finales casi todas) que sirvieron para que el entrenador del Real Madrid (considerado en Portugal el mejor del mundo) cimentase su meteórica carrera, con veinte títulos a su espalda. Se emitirá la semana que viene y en él, el técnico, que cumplirá 50 años el próximo enero, revela algunos de los secretos de algunos partidos definitivos. Como el que disputó en abril en el Camp Nou este año y que decidió la última liga. Al descanso se llegó con 0-1. “Y yo les dije a los jugadores que ese partido ya lo teníamos ganado. Que si nos empataban, porque podían empatarnos, como eso no les servía para llevarse la liga, iban a pasar al ataque. Y que por eso les íbamos a ganar”. Y eso pasó exactamente. El Barcelona empató pero el Real Madrid acabó por llevarse el partido con un 1-2.

El reportaje indaga en la forma de trabajar del entrenador portugués y algunas de sus manías, como la de sentarse en el segundo asiento del banquillo empezando por la derecha. “Así tengo a un técnico a cada lado”, explica, sonriendo. Cuenta que llega a su despacho (un cuarto blanco, funcional, sin muchas cosas, con una bicicleta estática que casi no usa) dos horas antes de cada entrenamiento, que le gusta contener sus emociones y que huye de las celebraciones. “No me gusta mucho celebrar un triunfo. Si se celebra mucho da la sensación de que puede ser el último”, explica. Parece haber cambiado, puesto que en 2010, con el Inter, celebró con algarabía en el Camp Nou y regado bajo los aspersores el pase a la final de la Champions; volvió a San Siro, ya con el Madrid, y recordó a la afición del Milan con tres dedos el triplete conseguido con el Inter; y, sin ir más lejos, hace unos meses se tiró de rodillas sobre el césped del Bernabéu cuando Cristiano Ronaldo le hizo el 3-2 definitivo frente al Manchester City.

No me gusta mucho celebrar un triunfo. Si se celebra mucho da la sensación de que puede ser el último”

José Mourinho, en el documental

En el documental se trasluce cierto punto supersticioso del entrenador. Él mismo explica que al ganar una la liga italiana los jugadores del Inter querían celebrarlo y que él se negaba porque a los dos días tenían otro partido contra el Siena y no quería perder el récord de imbatibilidad en casa. “Pero en esto llegó Julio César [el jugador brasileño por entonces portero del Inter] y me amenazó diciendo que si no les dejaba celebrar no iba a ganar ningún campeonato más. Y les dejé. Y por cierto: ganamos al Siena”.

También se muestra algo supersticioso (o simplemente perplejo) al hablar de las eliminaciones por penaltis, que no le han sido nunca favorables. La última, la semifinal de la Champions disputada entre el Real Madrid y el Bayern en el Bernabéu en el que el equipo blanco quedó descabalgado por penaltis. “Algo hacemos mal. Debe de haber algo lógico. Algo racional en eso. Pero se me escapa. Naturalmente que ensayamos los penaltis. Pero luego pasa que el que la mete nueve o diez veces en el entrenamiento va al partido y la falla”, comenta. Y luego relata que ganó una supercopa italiana gracias a un penalti decisivo marcado por el argentino Zanetti. “Tenía 36 años Y era el primer penalti que tiraba en su vida. No tiraba un penalti desde los tiempos de juvenil. Y va ahí, en esa tanda, y lo marca, así que…”

Mourinho tiene palabras amables y casi emocionadas para las aficiones del Chelsea, donde entrenó desde 2004 a 2007 y para la del Inter de Milán, donde lo hizo desde 2008 a 2010. Pero no menciona, ni para bien ni para mal, a la del Real Madrid. Explica que muchas de sus acciones se malinterpretan. “En 2006, lancé la medalla que me habían dado por la Premier a los aficionados. Me acusaron de soberbia por hacerlo. Y lo hice porque consideré que ellos, los seguidores, también habían sido campeones y se lo merecían”.

Asegura que cuando comenzó a entrenar pensaba que no hay “entrenadores viejos o jóvenes” sino “entrenadores buenos o malos”. “Y lo sigo pensando”, añade. Y concluye que a pesar de todos los títulos pasados, presentes y futuros (“pienso morirme de viejo”) lo más importante y el “mayor trofeo” de su vida es su familia. “Es una familia top. Estamos siempre los cuatro juntos”, asegura.

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Premier League round-up

Queens Park Rangers were unable to provide new boss Harry Redknapp with the perfect welcome present after a spirited defeat at Manchester United as West Bromwich Albion continued their excellent start to the season.

There was late drama at both Goodison Park and the DW Stadium respectively as Everton were pegged back by Norwich City and Wigan Athletic nicked the points against Reading.

Stoke City, meanwhile, recorded back-to-back 1-0 wins on home soil after proving too strong for fellow mid-table side Fulham.

Darren Fletcher's first goal since his return to fitness helped to stave off a shock at Old Trafford asManchester United came from behind to beat Queens Park Rangers 3-1, with the visitors' new manager Harry Redknapp watching from the stands.

United controlled possession in the first half, but lacked any tempo and received a let-off when Jamie Mackie strayed fractionally offside before heading beyond Anders Lindegaard.

The introduction of Anderson injected some much-needed pace into United's performance, although it was a set-piece which resulted in the equaliser on 64 minutes as Jonny Evans nodded home from about a yard out after Danny Welbeck had knocked down a corner.The hosts' lackadaisical performance was punished seven minutes after half-time, though, when Kieron Dyer was left alone after taking a corner and, after his low cross was pushed out by Lindegaard, Mackie had the simple task of tapping in from close range.

The Red Devils took the lead from another corner four minutes later as Fletcher powerfully met Wayne Rooney's cross before Anderson set up fellow substitute Javier Hernandez for a clinical finish on 72 minutes.

West Brom climbed up to third spot with an impressive 4-2 victory at the Stadium of Light to increase Martin O'Neill's woes on Wearside.

Zoltan Gera curled home the opening goal for West Brom on the half-hour and the lead was doubled just before half-time when Shane Long capitalised on a gaffe from Sunderland keeper Simon Mignolet.

The Black Cats, who have won just once at home this season, gave themselves a lifeline through substitute Craig Gardner's deflected free-kick on 73 minutes.

However, Baggies substitute Romelu Lukaku restored the two-goal cushion when he converted from the penalty spot on 81 minutes after Liam Ridgewell had been fouled.

Stephane Sessegnon's 87th minute finish from close range reignited home hopes, but they were extinguished in the fourth minute of stoppage-time when another substitute - Marc-Antoine Fortune - scored after being teed up by Lukaku.

Norwich extended their unbeaten run to six games in the Premier League as Sebastien Bassong's late header earned a 1-1 draw at Everton.

Everton took the lead after 12 minutes when Bryan Oviedo, making his first Premier League start, crossed into the six-yard box for Steven Naismith to score from close range.

With the clock ticking down, Javier Garrido curled in a deep free-kick and Bassong's header found its way past Tim Howard.

Stoke moved level on points with Fulham in the table after Charlie Adam's first-half goal secured a 1-0 success at the Britannia Stadium.

The Potters scored in the 26th minute when Ryan Shotton's cross from the right was nodded down at the back post by Peter Crouch and Adam was on hand to turn the ball home from close range.

Ryan Shawcross saw a header strike the crossbar and Kenwyne Jones had a goal disallowed for offside late on as Stoke maintained their unbeaten home record.

Jordi Gomez's hat-trick, including a last-minute winner, spared Wigan Athletic goalkeeper Ali Al Habsi's blushes in a thrilling 3-2 home victory over Reading.

Wigan were denied the opener when Arouna Kone's attempt was stopped on the line by Nicky Shorey, who then created Reading's goal on 35 minutes when his free-kick was powerfully headed home by Sean Morrison.

The home side levelled on 58 minutes when Adam Federici failed to hold on to Gomez's shot and the midfielder reacted quickly to lift the loose ball into the net.

Just 10 minutes later and Gomez did it again, the Spaniard meeting Jean Beausejour's delightful left-wing cross with a diving header which gave Federici no chance.

Reading were gifted an equaliser with 10 minutes to go when Hal Robson-Kanu's shot looped into the air and, what should have been a routine catch for Al Habsi, resulted in the Wigan keeper pushing the ball against the bar before it rebounded back off the Oman international's head and over the line.

But Al Habsi's embarrassment was assuaged in the final minute when Kone picked out the unmarked Gomez inside the area and he made no mistake in completing his hat-trick.

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Hiroshima champion pour la première fois

Le club de Sanfrecce Hiroshima, vainqueur samedi d'Osaka (4-1), a décroché le titre de champion duJapon pour la première fois de son histoire depuis la professionnalisation de football sur l'île en 1993.

Le club d'Hiroshima a donc gagné son billet pour la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA, Japon 2012, organisé au Japon du 6 au 16 décembre prochain, qui réunit les clubs champions des six confédérations continentales ainsi que le club champion du pays organisateur.

Leurs rivaux de Sendai, qui avaient déjà un point de retard sur Hiroshima avant cette journée, se sont inclinés contre Niigata (1-0).

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