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السبت، 24 نوفمبر 2012

Entretien avec Houcine Kharja, capitaine des Lions de l’Atlas Kharja dit tout


Le Matin : Le sélectionneur national Rachid Taoussi avait déclaré à la presse qu’il vous avait contacté par téléphone, mais que vous ne lui aviez pas répondu ?
Houcine Kharja : Non, personne ne m’a jamais appelé. Même jusqu’à aujourd’hui, personne ne m’a pas appelé pour m’expliquer les raisons pour lesquelles on ne m’a pas sélectionné. On m’a appelé avant le match du Mozambique et j’ai répondu. Je ne vois pas pourquoi je ne répondrais pas, surtout qu’on s’est qualifiés à la CAN et qu’on s’est quittés en bons termes. C’est absurde de dire que je ne réponds pas au téléphone.
Certains avancent que Taoussi était en colère contre vous parce que vous auriez tenté de lui imposer Michaël Basser ?
Écoutez, ça, c’est une rumeur infondée. Je vous jure que je n’ai jamais tenté de lui imposer personne. La dernière fois que j’ai vu Michaël Basser remonte au match contre la Guinée. Ce sont des rumeurs que certains essayent de diffuser pour salir mon image. Je suis arrivé lundi tard à Marrakech et je n’ai pas rencontré Michaël Basser. Qu’on ne me convoque pas, ce n’est pas un problème, mais qu’on essaye de porter atteinte à mon image, je ne le supporte pas.
Est-ce que vous avez menacé de ne pas jouer contre le Mozambique si on ne vous verse pas votre prime cash ?
Ça, c’est du grand délire. Si on ne veut pas me convoquer, qu’on ne me convoque pas, mais qu’on ne salisse pas mon image. Dire que je refuse de jouer tant que je n’ai pas perçu mes primes c’est me manquer de respect. Vous pouvez demander à n’importe quel membre fédéral et vous verrez si j’ai un jour exigé quoi que ce soit. Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour mon pays et avec fierté. Je suis fier d’être Marocain et j’adore mon pays. J’ai suffisamment gagné ma vie «hamdoullah» en Europe et je la gagne encore bien aujourd’hui au Qatar. Seulement, je n’accepte pas qu’on dise des mensonges à mon sujet. Je n’ai rien exigé et ce ne sont pas mes habitudes.
On vous accuse aussi de vous immiscer dans la composition de l’équipe nationale ?
C’est archifaux. Je ne sais pas qui rapporte ce genre de mensonges. Vous savez, j’ai de grands amis en équipe nationale comme Marouane Chamakh, Youssef Hadji, Jamal Alioui. Si c’est moi qui faisais l’équipe, je les aurais fait jouer. Je pense avoir donné énormément à l’équipe nationale, mais que certains tentent de salir mon image, cela est inacceptable. J’ai toujours donné le meilleur exemple. Aucun entraîneur ne s’est jamais plaint de moi ou de mon comportement. J’ai toujours été un professionnel et je le resterai jusqu’au bout.
Est-ce que vous ne pensez pas être victime de la nouvelle politique du coach national qui affirme vouloir rajeunir l’équipe ?
Je ne suis pas vieux. J’ai 30 ans et cinq jours. Je ne me sens pas si vieux que ça. Je n’étais pas mauvais en équipe nationale non plus. J’avais 29 ans, il y a encore une semaine. Comme vous le savez, j’ai évolué en Italie avec des joueurs plus âgés comme Andrea Pirlo, Andrea Barzagli et d’autres qui constituent encore l’ossature de l’équipe d’Italie. Si on dit que je suis vieux à 30 ans, c’est un peu tiré par les cheveux. Maintenant, le coach a fait ses choix et je les respecte. Mais je ne me sens pas vieux et je suis encore capable d’apporter beaucoup à l’équipe nationale.
Comment a été ton premier contact avec Rachid Taoussi ?
La première fois qu’il m’appelé c’était avant le match du Mozambique. On a eu une longue discussion. Il m’avait dit que la qualification contre le Mozambique était encore possible, je lui ai dit qu’on pouvait effectivement encore se qualifier puisqu’on pouvait remonter les deux buts d’écart. Walid Regragui s’est déplacé par la suite à Doha pour me voir. Ça m’a touché énormément. Je suis venu au match du Mozambique qu’on a gagné «hamdoullah». Je me demande pourquoi lors du match du Mozambique, on est arrivé à me joindre et là par hasard face au Togo, on n’a pas pu sous prétexte que je ne répondais pas au téléphone. Même le coach Hassan Chahata m’avait demandé quand j’allais partir en sélection et je lui ai dit samedi puisqu’on avait joué vendredi. J’ai contacté la personne au sein de mon club qui s’occupait des présélections et elle m’a dit qu’elle n’avait rien reçu me concernant. Depuis, plus de nouvelles. J’ai appris, par la suite, dans la presse que je n’ai pas été sélectionné. Je n’ai pas cherché à savoir pourquoi. De toute façon, c’est le coach qui décide.
Quelles sont les chances du Maroc dans le groupe A qui contient également l’Afrique du Sud, l’Angola et le Cap Vert ?
Ça ne sera pas facile. Il faut faire le plein de points lors des deux premiers matchs avant d’affronter l’Afrique du Sud, pays organisateur. Dans une grande compétition comme la coupe d’Afrique, le plus important, c’est le premier match. Il faudra donc gagner le match contre l’Angola. Ça ne sera pas facile contre cette équipe qui joue bien au football. Après, il faut bien négocier le match du Cap Vert qui a éliminé le Cameroun. De toute façon, il n’y a plus de petites ou grandes équipes. Il faut tout simplement respecter tous les adversaires sans toutefois les craindre. L’Angola comme le Cap Vert sont deux anciennes colonies portugaises. Ils ont des joueurs qui évoluent au Portugal. Ça va être difficile, mais c’est jouable.
Quels sont les enseignements que vous avez retenus lors de la dernière CAN ?
Le principal enseignement c’est de ne pas perdre le premier match. Il ne faut pas partir en Afrique du Sud comme si on avait déjà gagné la CAN. En 2004, on était considérés comme le plus petit poucet de la CAN et on a fait un bon parcours jusqu’à la finale. Lors des éditions suivantes, on est souvent arrivés comme l’une des équipes les plus attendues et à chaque fois on est passés à côté. Il faut aller là-bas très concentrés et respecter tous les adversaires et s’attendre à des rencontres très difficiles. Il faut batailler à chaque match pour pouvoir le remporter.
Comment sont vos relations actuelles avec votre coach Hassan Chahata ?
Elles sont très bonnes. La dernière fois, je lui ai demandé quelques conseils concernant la Coupe d’Afrique puisqu’il a gagné le titre à trois reprises. Il a confiance en moi. Il me considère comme le pilier de l’équipe. Depuis que je suis arrivé dans mon nouveau club, j’ai joué tous les matchs durant 90 minutes. Il y a eu des rumeurs comme quoi mes relations avec mon coach n’étaient pas bonnes. C’est totalement faux

LE MATIN

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Falcao: We want to make our own history

Falcao: We want to make our own history

Radamel Falcao Garcia is, without doubt, one of football’s hottest properties right now. A relentless goalscorer for Atletico Madrid, who have built on last season’s success and are currently flying high in La Liga, he is also a leading light for a Colombia team that is fighting for a place at the 2014 FIFA World Cup Brazil™.

Named in the 23-man shortlist for this year’s FIFA Ballon d’Or and author of one of the ten goals shortlisted for the FIFA Puskás Award, the man known as El Tigre (The Tiger) found time for an exclusive chat with FIFA.com. Among the items discussed were Colombia’s fine recent form, Jose Pekerman’s role in the side’s resurgence, recent comparisons between the current Cafetero crop and the golden generation of the 1990s, and his targets with Atletico.

FIFA.com: Falcao, Jose Pekerman told a press conference recently that Colombia would now qualify for the FIFA World Cup after missing out on the three previous editions. Would you go along with that?
Radamel Falcao Garcia:
The World Cup is the goal we’re working towards. There’s still a long way to go in the South American qualifiers, but we realise we’re in a strong position. We’ll keep striving towards our target of competing in this great competition and hope to continue in the same vein for the remainer of the qualifying campaign.

How do you explain the fact that you’ve won more games on your travels than at home in these qualifiers?
It shows we’ve matured and grown as a team, both home and away, something that’s enabled us to remain strong on the road and win key games. That’s always a good thing and hopefully we can continue to do that.

Playing at a World Cup with my national team is my principle objective, although the goal is not only to qualify and take part, but also to play a prominent part once there.
Falcao

The last time Colombia graced a FIFA World Cup was at France 1998, when you had players like Carlos Valderrama, Freddy Rincon and Faustino Asprilla. Is the current generation comparable with that one?
We’re not looking to be compared with them. We want to make our own history and pave our own way, and do it with a different style of play. Hopefully we can go far without seeking to compare ourselves to the Colombian teams that have come before us.

At France 1998 you were just 12. What you do remember about that tournament?
I remember a great deal as I watched almost the entire thing. Colombia didn’t do well in the group phase and went out. Later we had [Zinedine] Zidane’s crowning achievement, but it was also a World Cup in which Ronaldo and [Gabriel] Batistuta scored a lot of goals. So yeah, I remember it well.

Brazil coach Mano Menezes said recently that Colombia “were more than just Falcao” and praised the work done by Jose Pekerman since assuming the reins. Was the arrival of the Argentinian the tipping point for Colombia or have other factors contributed to the team’s improvement in the race to Brazil?
Without a doubt, Pekerman’s arrival turned things round for Colombia in terms of the team’s football, results and self-confidence. He tried to give us the necessary belief to go out there with freedom and play the kind of football that we’re used to. That means always trying to compete toe-to-toe whether home or away and seeking to win, but without throwing caution to the wind. Today we’ve become a more mature and balanced team in South America.

Is getting the chance to compete at a FIFA World Cup your prime objective right now, and what other goals are you hoping to achieve?
Playing at a World Cup with my national team is my principle objective, although the goal is not only to qualify and take part, but also to play a prominent part once there. I believe we have a good team, and hopefully we’ll grow and improve a great deal both individually and as a group so that we first of all qualify then afterwards feature prominently in Brazil.

Will this FIFA World Cup be different with it being staged in Brazil?
Yes, of course. We’ll be closer to home and it’s Latin America, whose people share a certain affinity. So if we made it there, we’d enjoy a degree of support from the hosts.

Before then might we see another triumph for Atletico Madrid in La Liga?
There’s a long way to go, but we want to keep battling game by game and then we’ll see where we are come the end of the season. The most important thing is to keep winning games, so we keep racking up the points.

Finally, we must mention the remarkable technical progress you’ve made over the last year. When you started out you were known for powerful heading, but you now seem to have really worked on your left foot, as evidenced by almost identical goals against Chelsea, Athletic Bilbao, Valencia and Paraguay. Is that something you’ve been particularly focused on?
Yes, I have worked on it. When I have the chance to work on my own game in training, I try to fine-tune technical aspects of it. In this case I’ve tried to improve my left-foot shot a bit, and have seen results. What’s more, most the goals I’ve scored this season have been with my left. There’ve been some beautiful and really well-taken ones to tell you the truth. It’s always good to work on improving yourself every way you can.

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