Iniesta, Messi or Ronaldo?

Yesterday, a FIFA Ballon d’Or 2012 shortlist of 23 names was whittled down to just three. And it said much for the standards set over the past year by Andres Iniesta, Lionel Messi and Cristiano Ronaldothat no-one was particularly surprised by the trio that emerged.

Now comes the difficult part: separating them. The job of deciding who takes the coveted trophy will fall to journalists and the coaches and captains of the various national teams around the world, but in the meantime we want you to have your say. So, who do you think should win the FIFA Ballon d’Or:Iniesta, Messi or Ronaldo?

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Ibra double provides PSG gloss

A brace from in-form striker Zlatan Ibrahimovic propelled Paris Saint-Germain to a 4-0 win over newly-promoted Troyes as they provisionally returned to the top of Ligue 1.

Maxwell netted a first-half opener for PSG, while two second-half strikes from Ibrahimovic and a goal from Blaise Matuidi snapped their domestic two-match losing streak in the French capital, sending Carlo Ancelotti's side one point clear of Saint-Etienne and Lyon at the summit.

Meanwhile, an eighth defeat of the season for Troyes leaves Jean-Marc Furlan's men languishing in 19th.

Ibrahimovic returned after serving a two-match suspension, with the inclusion of Sylvain Armand and Javier Pastore the only changes from Wednesday's 2-0 win at Dynamo Kyiv that secured PSG's progression to the UEFA Champions League knockout phase.

Troyes goalkeeper Yohann Thuram displayed quick reflexes to turn over an early effort from Matuidi, while the usually lethal Ibrahimovic shot tamely at Thuram after he was played through by Marco Verratti.

The home side eventually drew first blood on 17 minutes as Ibrahimovic advanced down the byline after escaping Rincon before crossing low for Maxwell to steer home. Ezequiel Lavezzi then tested Thuram with a header, while Troyes' Fabien Camus saw his deflected strike land on the roof of the net.

Zlatan bags a brace
On-loan striker Jean-Christophe Bahebeck, playing against his parent club, drew a low save out of Salvatore Sirigu and was unfortunate not to be awarded a penalty just before half-time after he was sent sprawling by Verratti.

The Italian midfielder - already on a yellow card - clattered through the back of Bahebeck, but replays indicated that Verratti got a faint touch on the ball as referee Bartolomeu Varela waved away appeals.

PSG capitalised on that let-off as Matuidi doubled the hosts' advantage on 63 minutes with an adroit finish after Ibrahimovic had slipped the ball into the path of the French midfielder.

The talismanic Swede then got on the scoresheet himself, drilling a fierce left-footed strike past Thuram via the underside of the crossbar seven minutes later before tapping home a Lavezzi cross for his league-leading 12th goal of the campaign a minute from the end to complete the rout.

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Entretien avec Houcine Kharja, capitaine des Lions de l’Atlas Kharja dit tout

Le Matin : Le sélectionneur national Rachid Taoussi avait déclaré à la presse qu’il vous avait contacté par téléphone, mais que vous ne lui aviez pas répondu ?
Houcine Kharja : Non, personne ne m’a jamais appelé. Même jusqu’à aujourd’hui, personne ne m’a pas appelé pour m’expliquer les raisons pour lesquelles on ne m’a pas sélectionné. On m’a appelé avant le match du Mozambique et j’ai répondu. Je ne vois pas pourquoi je ne répondrais pas, surtout qu’on s’est qualifiés à la CAN et qu’on s’est quittés en bons termes. C’est absurde de dire que je ne réponds pas au téléphone.

Certains avancent que Taoussi était en colère contre vous parce que vous auriez tenté de lui imposer Michaël Basser ?
Écoutez, ça, c’est une rumeur infondée. Je vous jure que je n’ai jamais tenté de lui imposer personne. La dernière fois que j’ai vu Michaël Basser remonte au match contre la Guinée. Ce sont des rumeurs que certains essayent de diffuser pour salir mon image. Je suis arrivé lundi tard à Marrakech et je n’ai pas rencontré Michaël Basser. Qu’on ne me convoque pas, ce n’est pas un problème, mais qu’on essaye de porter atteinte à mon image, je ne le supporte pas.

Est-ce que vous avez menacé de ne pas jouer contre le Mozambique si on ne vous verse pas votre prime cash ?
Ça, c’est du grand délire. Si on ne veut pas me convoquer, qu’on ne me convoque pas, mais qu’on ne salisse pas mon image. Dire que je refuse de jouer tant que je n’ai pas perçu mes primes c’est me manquer de respect. Vous pouvez demander à n’importe quel membre fédéral et vous verrez si j’ai un jour exigé quoi que ce soit. Tout ce que j’ai fait, je l’ai fait pour mon pays et avec fierté. Je suis fier d’être Marocain et j’adore mon pays. J’ai suffisamment gagné ma vie «hamdoullah» en Europe et je la gagne encore bien aujourd’hui au Qatar. Seulement, je n’accepte pas qu’on dise des mensonges à mon sujet. Je n’ai rien exigé et ce ne sont pas mes habitudes.

On vous accuse aussi de vous immiscer dans la composition de l’équipe nationale ?
C’est archifaux. Je ne sais pas qui rapporte ce genre de mensonges. Vous savez, j’ai de grands amis en équipe nationale comme Marouane Chamakh, Youssef Hadji, Jamal Alioui. Si c’est moi qui faisais l’équipe, je les aurais fait jouer. Je pense avoir donné énormément à l’équipe nationale, mais que certains tentent de salir mon image, cela est inacceptable. J’ai toujours donné le meilleur exemple. Aucun entraîneur ne s’est jamais plaint de moi ou de mon comportement. J’ai toujours été un professionnel et je le resterai jusqu’au bout.

Est-ce que vous ne pensez pas être victime de la nouvelle politique du coach national qui affirme vouloir rajeunir l’équipe ?
Je ne suis pas vieux. J’ai 30 ans et cinq jours. Je ne me sens pas si vieux que ça. Je n’étais pas mauvais en équipe nationale non plus. J’avais 29 ans, il y a encore une semaine. Comme vous le savez, j’ai évolué en Italie avec des joueurs plus âgés comme Andrea Pirlo, Andrea Barzagli et d’autres qui constituent encore l’ossature de l’équipe d’Italie. Si on dit que je suis vieux à 30 ans, c’est un peu tiré par les cheveux. Maintenant, le coach a fait ses choix et je les respecte. Mais je ne me sens pas vieux et je suis encore capable d’apporter beaucoup à l’équipe nationale.

Comment a été ton premier contact avec Rachid Taoussi ?
La première fois qu’il m’appelé c’était avant le match du Mozambique. On a eu une longue discussion. Il m’avait dit que la qualification contre le Mozambique était encore possible, je lui ai dit qu’on pouvait effectivement encore se qualifier puisqu’on pouvait remonter les deux buts d’écart. Walid Regragui s’est déplacé par la suite à Doha pour me voir. Ça m’a touché énormément. Je suis venu au match du Mozambique qu’on a gagné «hamdoullah». Je me demande pourquoi lors du match du Mozambique, on est arrivé à me joindre et là par hasard face au Togo, on n’a pas pu sous prétexte que je ne répondais pas au téléphone. Même le coach Hassan Chahata m’avait demandé quand j’allais partir en sélection et je lui ai dit samedi puisqu’on avait joué vendredi. J’ai contacté la personne au sein de mon club qui s’occupait des présélections et elle m’a dit qu’elle n’avait rien reçu me concernant. Depuis, plus de nouvelles. J’ai appris, par la suite, dans la presse que je n’ai pas été sélectionné. Je n’ai pas cherché à savoir pourquoi. De toute façon, c’est le coach qui décide.

Quelles sont les chances du Maroc dans le groupe A qui contient également l’Afrique du Sud, l’Angola et le Cap Vert ?
Ça ne sera pas facile. Il faut faire le plein de points lors des deux premiers matchs avant d’affronter l’Afrique du Sud, pays organisateur. Dans une grande compétition comme la coupe d’Afrique, le plus important, c’est le premier match. Il faudra donc gagner le match contre l’Angola. Ça ne sera pas facile contre cette équipe qui joue bien au football. Après, il faut bien négocier le match du Cap Vert qui a éliminé le Cameroun. De toute façon, il n’y a plus de petites ou grandes équipes. Il faut tout simplement respecter tous les adversaires sans toutefois les craindre. L’Angola comme le Cap Vert sont deux anciennes colonies portugaises. Ils ont des joueurs qui évoluent au Portugal. Ça va être difficile, mais c’est jouable.

Quels sont les enseignements que vous avez retenus lors de la dernière CAN ?
Le principal enseignement c’est de ne pas perdre le premier match. Il ne faut pas partir en Afrique du Sud comme si on avait déjà gagné la CAN. En 2004, on était considérés comme le plus petit poucet de la CAN et on a fait un bon parcours jusqu’à la finale. Lors des éditions suivantes, on est souvent arrivés comme l’une des équipes les plus attendues et à chaque fois on est passés à côté. Il faut aller là-bas très concentrés et respecter tous les adversaires et s’attendre à des rencontres très difficiles. Il faut batailler à chaque match pour pouvoir le remporter.

Comment sont vos relations actuelles avec votre coach Hassan Chahata ?
Elles sont très bonnes. La dernière fois, je lui ai demandé quelques conseils concernant la Coupe d’Afrique puisqu’il a gagné le titre à trois reprises. Il a confiance en moi. Il me considère comme le pilier de l’équipe. Depuis que je suis arrivé dans mon nouveau club, j’ai joué tous les matchs durant 90 minutes. Il y a eu des rumeurs comme quoi mes relations avec mon coach n’étaient pas bonnes. C’est totalement faux

LE MATIN

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Coupe arabe CA Bizerte, une simple formalité pour le Raja ?

Dans le camp du Raja, c’est la sérénité qui domine, le plus dur ayant été fait avec les quatre buts inscrits au complexe Mohammed V, il y a un mois. Les Verts n’ont donc plus qu’une simple formalité à assurer pour débarquer au tour suivant.
Seul souci pour M’Hamed Fakhir, la fatigue de ses joueurs qui vont disputer trois rencontres en une semaine.

CA Bizerte n’a pratiquement aucune chance d’éliminer le Raja en Coupe arabe même si c’est une équipe en confiance que va accueillir les Verts.
Quatrième de son championnat, CA Bizerte est en train de relever la tête comme le prouve son succès sur l’AS Marsa (2-1), le week-end dernier.
En dépit de son large succès au match aller, le Raja doit tout de même se méfier de la réaction du club tunisien qui jouera sa chance jusqu’au bout.

Méfiance

En plus de la fatigue qui risque de faire son effet sur les joueurs marocains, ils seront également pénalisés par la pelouse du stade de Bizerte rendue lourde par les dernières pluies qui se sont abattues sur la Tunisie.
Le nouveau coach algérien Noureddine Saadi qui a relevé Youssef Zouaoui aura à cœur de créer la sensation en remontant les 4 buts encaissés à Casablanca.

Pour ce, il comptera sur son joueur et compatriote Ziyaya, un véritable goléader, ainsi que sur les coups de boutoir du Sénégalais Youssoufa. De plus, le club de Bizerte sera encouragé par plus de 20 000 supporters.

Les récents vainqueurs de la Coupe du Trône auront donc à faire face à la fatigue, au mauvais état de la pelouse et au public bizertin qui sera le douzième homme qui exhortera ses fans à un exploit difficile, mais non impossible.

Les retours de Karim Benamor et de Kamal Zaïm, absents lors du match aller, seront également un plus pour les Tunisiens avides d’obtenir leur ticket pour le tour suivant.
Fakhir et ses hommes doivent donc s’attendre à une rencontre infernale et pour ce, ils essayeront de freiner les ardeurs des Tunisiens durant les 20 premières minutes pour envisager le reste du match avec plus de sérénité.
Pour ce, l’entraîneur du Raja a laissé au repos certain de ses joueurs clefs afin qu’ils gardent leur fraîcheur pour cette confrontation maghrébine.

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Un trio égyptien pour le match CA Bizerte-Raja

L’Union arabe de football a désigné un trio égyptien pour conduire le match retour du premier tour de la Coupe arabe des clubs champions entre le Club Athlétique Bizertin et le Raja de Casablanca prévu pour ce dimanche à partir de 14h30 au stade 15 Octobre de Bizerte. Ce trio est composé de Fahim Omar comme arbitre principal, Houcine Saddat, Ahmed Saher comme adjoints, Hamdi Châabane comme 4e arbitre et Abdelkader Chaabane comme commissaire du match.

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El Mourinho más afable

El documental, elaborado por Henrique Mateus de la cadena portuguesa TVI, se titula O toque de Mourinho y durante 50 minutos recuerda los partidos claves (finales casi todas) que sirvieron para que el entrenador del Real Madrid (considerado en Portugal el mejor del mundo) cimentase su meteórica carrera, con veinte títulos a su espalda. Se emitirá la semana que viene y en él, el técnico, que cumplirá 50 años el próximo enero, revela algunos de los secretos de algunos partidos definitivos. Como el que disputó en abril en el Camp Nou este año y que decidió la última liga. Al descanso se llegó con 0-1. “Y yo les dije a los jugadores que ese partido ya lo teníamos ganado. Que si nos empataban, porque podían empatarnos, como eso no les servía para llevarse la liga, iban a pasar al ataque. Y que por eso les íbamos a ganar”. Y eso pasó exactamente. El Barcelona empató pero el Real Madrid acabó por llevarse el partido con un 1-2.

El reportaje indaga en la forma de trabajar del entrenador portugués y algunas de sus manías, como la de sentarse en el segundo asiento del banquillo empezando por la derecha. “Así tengo a un técnico a cada lado”, explica, sonriendo. Cuenta que llega a su despacho (un cuarto blanco, funcional, sin muchas cosas, con una bicicleta estática que casi no usa) dos horas antes de cada entrenamiento, que le gusta contener sus emociones y que huye de las celebraciones. “No me gusta mucho celebrar un triunfo. Si se celebra mucho da la sensación de que puede ser el último”, explica. Parece haber cambiado, puesto que en 2010, con el Inter, celebró con algarabía en el Camp Nou y regado bajo los aspersores el pase a la final de la Champions; volvió a San Siro, ya con el Madrid, y recordó a la afición del Milan con tres dedos el triplete conseguido con el Inter; y, sin ir más lejos, hace unos meses se tiró de rodillas sobre el césped del Bernabéu cuando Cristiano Ronaldo le hizo el 3-2 definitivo frente al Manchester City.

No me gusta mucho celebrar un triunfo. Si se celebra mucho da la sensación de que puede ser el último”

José Mourinho, en el documental

En el documental se trasluce cierto punto supersticioso del entrenador. Él mismo explica que al ganar una la liga italiana los jugadores del Inter querían celebrarlo y que él se negaba porque a los dos días tenían otro partido contra el Siena y no quería perder el récord de imbatibilidad en casa. “Pero en esto llegó Julio César [el jugador brasileño por entonces portero del Inter] y me amenazó diciendo que si no les dejaba celebrar no iba a ganar ningún campeonato más. Y les dejé. Y por cierto: ganamos al Siena”.

También se muestra algo supersticioso (o simplemente perplejo) al hablar de las eliminaciones por penaltis, que no le han sido nunca favorables. La última, la semifinal de la Champions disputada entre el Real Madrid y el Bayern en el Bernabéu en el que el equipo blanco quedó descabalgado por penaltis. “Algo hacemos mal. Debe de haber algo lógico. Algo racional en eso. Pero se me escapa. Naturalmente que ensayamos los penaltis. Pero luego pasa que el que la mete nueve o diez veces en el entrenamiento va al partido y la falla”, comenta. Y luego relata que ganó una supercopa italiana gracias a un penalti decisivo marcado por el argentino Zanetti. “Tenía 36 años Y era el primer penalti que tiraba en su vida. No tiraba un penalti desde los tiempos de juvenil. Y va ahí, en esa tanda, y lo marca, así que…”

Mourinho tiene palabras amables y casi emocionadas para las aficiones del Chelsea, donde entrenó desde 2004 a 2007 y para la del Inter de Milán, donde lo hizo desde 2008 a 2010. Pero no menciona, ni para bien ni para mal, a la del Real Madrid. Explica que muchas de sus acciones se malinterpretan. “En 2006, lancé la medalla que me habían dado por la Premier a los aficionados. Me acusaron de soberbia por hacerlo. Y lo hice porque consideré que ellos, los seguidores, también habían sido campeones y se lo merecían”.

Asegura que cuando comenzó a entrenar pensaba que no hay “entrenadores viejos o jóvenes” sino “entrenadores buenos o malos”. “Y lo sigo pensando”, añade. Y concluye que a pesar de todos los títulos pasados, presentes y futuros (“pienso morirme de viejo”) lo más importante y el “mayor trofeo” de su vida es su familia. “Es una familia top. Estamos siempre los cuatro juntos”, asegura.

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Premier League round-up

Queens Park Rangers were unable to provide new boss Harry Redknapp with the perfect welcome present after a spirited defeat at Manchester United as West Bromwich Albion continued their excellent start to the season.

There was late drama at both Goodison Park and the DW Stadium respectively as Everton were pegged back by Norwich City and Wigan Athletic nicked the points against Reading.

Stoke City, meanwhile, recorded back-to-back 1-0 wins on home soil after proving too strong for fellow mid-table side Fulham.

Darren Fletcher's first goal since his return to fitness helped to stave off a shock at Old Trafford asManchester United came from behind to beat Queens Park Rangers 3-1, with the visitors' new manager Harry Redknapp watching from the stands.

United controlled possession in the first half, but lacked any tempo and received a let-off when Jamie Mackie strayed fractionally offside before heading beyond Anders Lindegaard.

The introduction of Anderson injected some much-needed pace into United's performance, although it was a set-piece which resulted in the equaliser on 64 minutes as Jonny Evans nodded home from about a yard out after Danny Welbeck had knocked down a corner.The hosts' lackadaisical performance was punished seven minutes after half-time, though, when Kieron Dyer was left alone after taking a corner and, after his low cross was pushed out by Lindegaard, Mackie had the simple task of tapping in from close range.

The Red Devils took the lead from another corner four minutes later as Fletcher powerfully met Wayne Rooney's cross before Anderson set up fellow substitute Javier Hernandez for a clinical finish on 72 minutes.

West Brom climbed up to third spot with an impressive 4-2 victory at the Stadium of Light to increase Martin O'Neill's woes on Wearside.

Zoltan Gera curled home the opening goal for West Brom on the half-hour and the lead was doubled just before half-time when Shane Long capitalised on a gaffe from Sunderland keeper Simon Mignolet.

The Black Cats, who have won just once at home this season, gave themselves a lifeline through substitute Craig Gardner's deflected free-kick on 73 minutes.

However, Baggies substitute Romelu Lukaku restored the two-goal cushion when he converted from the penalty spot on 81 minutes after Liam Ridgewell had been fouled.

Stephane Sessegnon's 87th minute finish from close range reignited home hopes, but they were extinguished in the fourth minute of stoppage-time when another substitute - Marc-Antoine Fortune - scored after being teed up by Lukaku.

Norwich extended their unbeaten run to six games in the Premier League as Sebastien Bassong's late header earned a 1-1 draw at Everton.

Everton took the lead after 12 minutes when Bryan Oviedo, making his first Premier League start, crossed into the six-yard box for Steven Naismith to score from close range.

With the clock ticking down, Javier Garrido curled in a deep free-kick and Bassong's header found its way past Tim Howard.

Stoke moved level on points with Fulham in the table after Charlie Adam's first-half goal secured a 1-0 success at the Britannia Stadium.

The Potters scored in the 26th minute when Ryan Shotton's cross from the right was nodded down at the back post by Peter Crouch and Adam was on hand to turn the ball home from close range.

Ryan Shawcross saw a header strike the crossbar and Kenwyne Jones had a goal disallowed for offside late on as Stoke maintained their unbeaten home record.

Jordi Gomez's hat-trick, including a last-minute winner, spared Wigan Athletic goalkeeper Ali Al Habsi's blushes in a thrilling 3-2 home victory over Reading.

Wigan were denied the opener when Arouna Kone's attempt was stopped on the line by Nicky Shorey, who then created Reading's goal on 35 minutes when his free-kick was powerfully headed home by Sean Morrison.

The home side levelled on 58 minutes when Adam Federici failed to hold on to Gomez's shot and the midfielder reacted quickly to lift the loose ball into the net.

Just 10 minutes later and Gomez did it again, the Spaniard meeting Jean Beausejour's delightful left-wing cross with a diving header which gave Federici no chance.

Reading were gifted an equaliser with 10 minutes to go when Hal Robson-Kanu's shot looped into the air and, what should have been a routine catch for Al Habsi, resulted in the Wigan keeper pushing the ball against the bar before it rebounded back off the Oman international's head and over the line.

But Al Habsi's embarrassment was assuaged in the final minute when Kone picked out the unmarked Gomez inside the area and he made no mistake in completing his hat-trick.

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Hiroshima champion pour la première fois

Le club de Sanfrecce Hiroshima, vainqueur samedi d'Osaka (4-1), a décroché le titre de champion duJapon pour la première fois de son histoire depuis la professionnalisation de football sur l'île en 1993.

Le club d'Hiroshima a donc gagné son billet pour la Coupe du Monde des Clubs de la FIFA, Japon 2012, organisé au Japon du 6 au 16 décembre prochain, qui réunit les clubs champions des six confédérations continentales ainsi que le club champion du pays organisateur.

Leurs rivaux de Sendai, qui avaient déjà un point de retard sur Hiroshima avant cette journée, se sont inclinés contre Niigata (1-0).

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Lavezzi, et si c'était le déclic ?

Décevant depuis son arrivée cet été, Ezequiel Lavezzi a profité du déplacement du PSG sur la pelouse du Dynamo Kiev en Ligue des champions (0-2) pour inscrire ses deux premiers buts sous le maillot du club de la capitale, tout en assurant la qualification des siens pour les 8e de finale de la compétition. Et si l'Argentin, plus embêté par les blessures, était la solution aux maux parisiens ?

"Lavezzi a été très bon, il a changé le cours du match." Leonardo a l'éloge facile. Mais celle-ci est plus que méritée. Le directeur sportif du PSG ne s'y est pas trompé : Ezequiel Lavezzi a été l'homme du match face au Dynamo Kiev (0-2), mercredi, lors de la 5e journée de la Ligue des champions. On attendait plutôt Zlatan Ibrahimovic, de retour sur la scène européenne après avoir purgé deux matches de suspension en Ligue 1. Le Suédois se sera contenté d'une passe décisive pour son compère de l'attaque, qui a enfilé le costume de héros. Lavezzi a tout d'abord profité d'un service d'Ibra donc pour s'en aller lober astucieusement le gardien ukrainien juste avant la pause (45e, 1-0). Puis il était parfaitement placé pour pousser dans les filets un ballon gratté par Blaise Matuidi dans la surface (52e, 2-0). Suffisant pour sauver la soirée d'une équipe du PSG empruntée, qui avait besoin de se rassurer après trois contre-performances en championnat. Suffisant également pour assurer l'essentiel, à savoir la qualification pour les 8e de finale. Histoire d'éviter de prolonger la petite crise de ces derniers jours.

Une rencontre synonyme peut-être de déclic pour l'ancien joueur de Naples. Pour le moment, il s'était fait surtout remarquer par son expulsion à Ajaccio lors de la 2e journée de Ligue 1, et sa réaction à sa sortie sur blessure devant Porto en Ligue des champions (si quelqu'un a des nouvelles de la glacière martyrisée d'ailleurs...). Pas vraiment par les qualités avec lesquelles il avait régalé le public napolitain et qui avaient convaincu le PSG de verser environ 30 millions d'euros pour son transfert. De retour de blessure depuis deux semaines, "El Pocho" a profité de ce déplacement en Ukraine pour enfin débloquer son compteur buts avec Paris. Une très bonne nouvelle pour le club de la capitale et Carlo Ancelotti. "Pour la première fois, on a vu le Lavezzi que tout le monde connaît, s'est félicité l'entraîneur parisien. Il a joué un bon match, il a marqué, il a été très dangereux en contre-attaque." Très en vue, le principal intéressé a multiplié les appels en pointe et sur le côté droit, provoquant par ses dribbles et s'imposant comme un bon complément à Ibrahimovic.

Reste désormais à espérer que l'embellie va se confirmer. Ancelotti veut y croire, malgré le physique fragile de son joueur. "Malheureusement, il a eu des blessures et des problèmes pour retrouver sa condition physique. Le futur sera meilleur pour lui", a estimé le technicien. Le retour de l'international argentin devrait lui permettre d'aligner la ligne d'attaque la plus efficace pour le PSG à l'heure actuelle, avec un trio Lavezzi-Ibrahimovic-Ménez. Encore faudrait-il que ce dernier se rétablisse et soit apte pour la réception de Troyes, samedi, à l'occasion de la 14e journée de Ligue 1. Une rencontre que Lavezzi devrait sans aucun doute débuter. Pour enfin son premier but en championnat ?

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Le retour de "Super Mario"

La 13e journée de Budesliga devrait voir Mario Gomez faire ses premiers pas dans cette édition 2012-2013 du championnat d'Allemagne. Le buteur du Bayern, blessé depuis le mois d'août, est dans le groupe munichois qui affronte Hanovre ce samedi (15h30). De quoi lancer la "Guerre des Mario", avec son coéquipier Mario Mandzukic, pour gagner les faveurs du coach Jupp Heynckes.

Ultra-dominateur en Bundesliga depuis le début de la saison (11 victoire, 1 nul, 1 défaite), le Bayern Munich va pouvoir compter sur un nouveau renfort de poids samedi contre Hanovre en championnat. En effet, Mario Gomez est de retour dans le groupe bavarois et a même disputé ses premières minutes de jeu contre Valence (1-1), lors de la 5e journée de la Ligue des champions. Pour rappel, lors des deux derniers exercices de Bundesliga, l’international allemand a inscrit la bagatelle de 56 buts, faisant de lui le meilleur buteur de son club à chaque fois. Mais voilà, suite à une blessure de la cheville contractée lors des matches de préparation, l’ancien joueur de Stuttgart a dû prendre son mal en patience et laisser sa place à un autre Mario (Mandzukic).

Le Croate, transféré de Wolfsburg cet été, a fait mieux que remplacer Gomez. Auteur de 9 buts en 11 matches de championnat disputés, Mario Mandzukic est tout simplement parti sur de meilleures bases que son homonyme. Pour les médias allemands, il n’est d’ailleurs pas certain que Mario Gomez récupère sa place de titulaire lorsqu’il aura retrouvé l’ensemble de ses capacités. Des interrogations qui ne font pas douter l’attaquant de la Nationalmannschaft. En conférence de presse, ce dernier a montré une grande confiance en soi : "Il y a toujours ce débat sur ma capacité à lutter contre la concurrence, mais ça fait huit ans que je suis en concurrence avec de très grands buteurs, et que j'ai réussi à être un premier choix."

Et pour le moment, l’attaquant bavarois fait tout pour soigner son retour. Lors d'un match amical la semaine passée, le Munichois a marqué un quadruplé contre les amateurs de 5eme division du FC Falke Markt Schwaben (6-0). Une manière de montrer que, même si physiquement il n’est pas encore au maximum, son sens du but lui est toujours présent. Face à Hanovre lors de la 14e journée de Bundesliga, Mario Gomez ne devrait probablement pas être titularisé. Mais s’il rentre en jeu, il pourra commencer son opération reconquête auprès de son coach Jupp Heynckes. Et cela pourrait très vite faire mal

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They said it: Maradona

“Scorpio is intense. It has an emotional energy that is unique in the Zodiac. If you use it constructively, it can help you become a great leader. It doesn’t bite its tongue and it can be very critical.”

Diego Maradona’s description of the star sign is one that could just as easily be applied to him. The Argentinian legend, who turns 50 later this year, possesses all those characteristics and more. Considered by many to be the greatest footballer that ever walked the Earth, he is now preparing for the most searching examination of his eventful tenure as coach of Argentina: the 2010 FIFA World Cup South Africa™.

Aside from his playing skills and status as a footballing idol, Maradona is also famed for his way with words. Sometimes blunt, sometimes irascible, but never dull, Maradona has made many an unforgettable appearance in front of the microphones, sometimes leaving his audience open-mouthed, just as he once did on the field of play.

FIFA.com rounds up a selection of El Pelusa’s most outspoken and revealing observations on life and football.

“My first dream is to play in the World Cup, and my second is to win it.”
A 12-year-old Maradona, appearing on camera for the first time, on his footballing ambitions

“Yes, I am a ‘blackhead’ and proud of it. I'll never forget where I came from.”
Maradona on his roots, employing a derogatory term (cabecita negra) used in Argentina to refer to people from poor backgrounds

“You are never in control with drugs, they control you. Anyone who says, ‘I can handle them’ is either lying or deluding themselves.”
Maradona on his drug addiction, prior to entering a rehabilitation programme

“I’ve packed 70 years into my 40. I’ve seen it all. I went from a dirt track in Villa Fiorito to the top of the world. When I got there, I had to figure out for myself what to do. Nobody ever told me what it would be like or how to handle it.”
Maradona on the trials of fame

“I was and always will be happy with my Hand of God goal against the English. I offer them a thousand apologies – that’s the truth - but I’d do it again a thousand times.”
Maradona on his opening goal against England in the quarter-finals at Mexico 1986

“I tried to find happiness playing football, and through it I tried to bring happiness to others. Football is the most beautiful game in the world. Yes, I made mistakes and I paid the price, but you can never tarnish football.”Maradona opens up to the fans at a game held in his honour in November 2001

“I haven’t seen him lately. I tried to call him but it’s easier talking to Obama than Lio. I’ve heard he's having a good pre-season and that’s great to know.”
Maradona on Messi, in the build-up to the South Africa 2010 qualifier against Brazil

“The worst has already happened. I was at the bottom of the sea and my daughters pulled me out. I can get up every day now, which is an achievement when you consider that I used to go three whole days either awake or asleep. Seeing my grandson is like touching the sky. Everything else pales in comparison.”
Maradona on what life means to him now, in an interview with FIFA.com

“When we won the World Cup in Mexico I hardly let go of the Trophy. You ask me if I’ll be holding on to it if we win in South Africa? No. Masche (Javier Mascherano) will have that honour. And he won’t want to let go either. Mark my words. He’ll be doing the same thing.”
Maradona on how it feels to hold the FIFA World Cup Trophy

“Winning the World Cup is the most beautiful thing there is. I tell the players that 30 days of sacrifice just to kiss that cup is nothing in a man’s life. It’s like touching the sky.”Maradona on his obsession with winning the FIFA World Cup

“I’m not going to die over that, I’ll sleep just as well if Butcher doesn’t shake my hand. I would remind everyone that England beat Germany in a Final with a goal that didn’t go over the line. We all saw it and no one said anything. But the thing is there weren’t any TV replays then. Butcher is in no position to judge me.”
Maradona responds to Terry Butcher, the former England international and ex-Scotland assistant coach (still angered at the Hand of God goal, Butcher said he would not be shaking El Diez’s hand before the Scots’ friendly with Argentina at Hampden Park in November 2008, Maradona’s first game in charge)

“I’d like to dedicate our qualification to the people of Argentina with all my heart, but only to them, to the people who believed in me. There are some people who don’t deserve it, and they know who they are. I don’t forget things, and I’ve got one thing to say to the people who didn’t believe in this team, who treated me like a piece of rubbish: Today we are in the World Cup finals.”
Maradona rounds on his critics at the controversial press conference that followed his side’s 1-0 victory in Uruguay, a result that secured their place in South Africa.

fifa.com

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The Same Ol' 'Melo? Not Hardly

Nov. 23 -- When Rick Carlisle talks about image transformation for NBA stars, you listen. He is, after all, the man who helped Dirk Nowitzki shed his "soft" label by convincing the eventual 2011 Finals MVP to dig in on defense as much as he did on offense. Doing so paid off with a defining season for the Mavericks and their star.

So when Carlisle sees a similar transformation taking place with New York Knicks star Carmelo Anthony -- who interestingly enough has the same defensive-minded big man (Tyson Chandler) that backed Nowitzki up on his side now -- his thoughts shouldn't be dismissed.

"Right now, he might be the best player in the game, if you look at their record and the stats that he's putting up and all that kind of stuff," Carlisle told reporters just hours before his Mavericks outlasted the Knicks 114-111 Wednesday night in Dallas. "He's gonna be an MVP candidate for sure if New York keeps winning, and it appears that they're gonna be that kind of team."

And it appears the Knicks (8-2) are going to be that kind of team this season and Anthony that kind of player, thanks in part to coachMike Woodson convincing him to dig in as hard on defense as he does on offense.

Anthony's MVP buzz, here on the Kia Race to the MVP Ladder and elsewhere, hasn't been this strong in years. That's saying something for a player who has long been considered one of the league's best scorers.

Chandler is convinced.

"He should be at the top of the race right now," he told Yahoo! Sports. "We're playing the best basketball, and he's playing all over the floor on both ends."

While Kevin Durant and Kobe Bryant are always mentioned in MVP conversations, Anthony has always been on the fringe. The traditional knocks on him? His defense and his lack of a signature season where he lifts his team from good or pretty good to superb.

Should Anthony continue playing as well as he has and the Knicks winning like they have, this season could see a player and his team simultaneously transform their images.

The next five: Deron Williams, Brooklyn Nets; James Harden, Houston Rockets; Andrei Kirilenko, Minnesota Timberwolves; Tim Duncan, San Antonio Spurs; Kemba Walker, Charlotte Bobcats

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"Un técnico le dijo a Mou que a él la UEFA sí le dio la placa"

“No hubo ninguna ironía en lo de la placa. Antes del partido Mourinho recibió una llamada de un entrenador que había cumplido cien partidos en la Champions y le contó que había recibido una placa. Mourinho creía que era habitual y lo dijo”. Así escenificó Aitor Karanka, segundo técnico del Madrid, el malestar del portugués con la UEFA. Horas antes del duelo ante el Manchester City visitó el hotel del Madrid Alex Ferguson, que ya ha cumplido esa centena de partidos en la máxima competición continental. 

¿Se siente perseguido Mou?: “El míster lleva años trabajando, sufriendo y disfrutando y es tan fuerte que tiene más ganas de seguir ganando títulos que es para lo que estamos aquí”.

Rocchi: “Si le asignaron sabiendo que tuvo un problema con Mou es una cosa en la que no podemos hacer nada. Mou dijo al final que fuera la prensa la que valorase el partido que hizo en Manchester y lo habéis hecho. Está claro”.

Descanso: “De jugar el miércoles a jugar mañana de nuevo hay un día menos de descanso que otros y hay que ver cómo están los jugadores. Estamos valorando la posibilidad de hacer cambios por cómo están los jugadores”.

Portavoz-influencia: “El cuerpo técnico habla del trabajo de campo y de los partidos. El resto son cosas que no nos incumben. Hace dos años y meses que estamos aquí y se han ganado títulos”, aseguró sobre el hecho de que Mou quiere un portavoz en el equipo.

Llegada de Hierro: “Nuestra relación no es desconocida para nadie. Yo no tengo decisión y no puedo ni debo opinar sobre eso”.

Özil: “Fue una decisión técnica y táctica que no jugara ante el City. Entendimos que Luka Modric nos podía dar más que él en ese partido en Manchester”.

Recortar puntos esta jornada: “Hay que estar a lo nuestro y no preocuparnos de los partidos de los demás. Si no ganamos nosotros el resto no sirve de nada”.

Betis: “Lleva haciendo una temporada francamente buena y ya nos costó ganar allí el año pasado. Ha sido una semana dura para ellos pero nosotros tenemos que estar concentrados estén como estén ellos”.

Lesionados: “La lesión de Marcelo es larga y depende de cómo vaya evolucionando. Con Higuaín hay que ir con cuidado. Lo de Essien ha sido una reacción alérgica a un medicamento”.

Mejorar defectos: “Intentamos mejorar a diario para dar el nivel del año pasado. Con la plantilla que tenemos sabemos que hay que buscar el máximo nivel”.

Similitud Fernando Alonso-Real Madrid: “Un gran campeón como Alonso y un gran equipo como el Madrid nunca se pueden dar por vencidos”

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CHELSEA : GUARDIOLA N'EN DÉMORD PAS !

Annoncé comme possible successeur de Roberto di Matteo à Chelsea, le représentant de Pep Guardiola, Josep Maria Orobitg, a assuré, sur le site Lancenet, que le technicien catalan n'acceptera aucune offre avant le début de l'année 2013.

"Pep Guardiola ne décidera rien avant janvier ou février. J'étais avec lui il y a deux semaines et il m'a dit qu'il ne prendrait aucune décision avant janvier ou février. Peu importe ce qu'il se passe, il n'y aura aucune action avant cette date avec n'importe quel club ou n'importe quelle équipe. Guardiola est avec sa famille, se repose, lit, regarde des matches de football. En janvier, nous commencerons à penser à l'équipe qu'il voudra diriger", a confié le proche de Pep Guardiola au média brésilien. Une déclaration qui ne fait que confirmer la thèse Rafa Benitez à Chelsea.

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Mourinho et Ronaldo à Manchester United en juin ?

A l'issue de cette saison, le Real Madrid pourrait perdre deux de ses plus belles étoiles : l'entraîneur José Mourinho et l'attaquant Cristiano Ronaldo. Les deux hommes pourraient prendre la direction de Manchester United !

"Fergie" pourrait donner son aval. Depuis 1986, Sir Alex Ferguson est le manager de Manchester United. Forcément, le technicien écossais qui fêtera son 71e anniversaire le 31 décembre prochain se demande franchement s'il doit, ou non, prendre sa retraite à l'issue de cette saison. Selon les médias britanniques, le technicien pourrait faire ses adieux au public d'Old Trafford en mai. Cas échéant, le guide légendaire des Red Devils voudrait que... José Mourinho soit son successeur ! Le coach portugais n'a jamais caché que l'Angleterre lui manque terriblement. Depuis plus de cinq ans (il a quitté Chelsea en septembre 2007), le "Special One" répète très souvent qu'il rêve de faire son come-back outre-Manche où il a acquis sa belle notoriété.

La perspective de s'asseoir sur le banc de Manchester United l'emballerait même si cela ne ravirait pas tous les fans mancuniens... Selon El Mundo Deportivo, le Portugais pourrait bien emmener dans ses bagages un de ses célèbres compatriotes : Cristiano Ronaldo ! A Madrid, l'attaquant a toujours le sentiment de ne pas être considéré à sa juste valeur par les dirigeants de la Casa Blanca qui ne le "protègent" pas assez à son goût, notamment en ce qui concerne le soutien médiatique nécessaire afin qu'il gagne un second Ballon d'Or, et qui tardent trop à lui proposer un nouveau contrat en or massif. Par ailleurs, "CR7" reproche à certains médias de tirer à boulets rouges sur lui pour nuire à sa réputation ou encore aux arbitres de ne pas tout faire afin d'empêcher certains de ses adversaires de le "sécher" sur le rectangle vert.

La superstar pourrait vraiment voir d'un bon oeil un retour à Manchester United. Entre 2003 et 2009, l'homme transféré au Real contre 94 millions d'euros (!) était clairement "The King" aux yeux des supporters. Ces derniers seraient enchantés de le voir revenir à Old Trafford même si, pour cela, il faudrait que les dirigeants déboursent plus de 100 millions d'euros. Dans ce cas, "CR7" pourrait former une ligne d'attaque magique (la plus forte d'Europe ?) avec Wayne Rooney ou encore Robin Van Persie. Pour le moment, José Mourinho et Cristiano Ronaldo ne se sont pas prononcés au sujet de leur avenir. Comme si finalement, ils attendaient la suite des évènements avant de prendre une décision irrévocable qui pourrait secouer le Real Madrid et plus généralement toute la planète foot !

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Who should win the FIFA Ballon d’Or?

Twenty-three men have been shortlisted for the FIFA Ballon d'Or for 2012. FIFA.com wants to know which of them you think deserves the award.

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